Si le volume de chiffre d’affaires le permet, il peut-être envisagé une solution d’affacturage en financement de balance clients.
Si en revanche, le chiffre d’affaires à traiter annuellement n’est pas suffisant, inférieur à 8 millions d’euros, le factor pourra envisager de ne prendre que les factures au-dessus d’un certain montant, 500 euros par exemple.
Les factures sur les hôpitaux et cliniques
Ces factures sont régulièrement traitées par les sociétés d’affacturage, ce sont des factures qui ne présentent pas de risques majeurs de solvabilité, et qui sont généralement liées à des activités récurrentes.
Ces types d’établissements, de part leur taille, peuvent même souscrire un contrat d’affacturage fournisseur, de type reverse factoring, afin de pouvoir payer l’ensemble de leurs fournisseurs au comptant, au lieu de les régler à échéance.
Il faut pour cela que l’ensemble de la facturation fournisseurs dépasse les 30 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel, ce qui est souvent le cas pour les hôpitaux et cliniques.
La facturation dans la répartition pharmaceutique
Les factures émises par des fournisseurs sur les répartiteurs pharmaceutiques sont finançables par l’affacturage sans problème particulier.
En revanche, les factures émises des répartiteurs pharmaceutiques, sur les pharmacies, ne sont pas automatiquement prises en affacturage. Outre la taille des factures qui peut parfois poser un problème, c’est aussi l’historique de paiement de chaque pharmacien qui va entrer en jeu.
Certaines pharmacies ont, en effet, la fâcheuse tendance à payer leurs fournisseurs avec des délais très longs, ce qui pose un problème au factor dans sa démarche de recouvrement.
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